UN livre va apparaître donc j ai un chapitre sur mon histoire

Bientôt, mon parcourt et ma création sera dans un chapitre d’un livre; le projet de livre sur la normalisation porté par François Bousquet et Stéphane Jock, cet ouvrage sortira en fin d’année . Vous trouverez le chapitre de 7 pages sur mon implication en normalisation pour les couvertures antifeux. Comme vous le verrez, il a romancé l’histoire …VIVEMENT LA SORTI DU LIVRE VOICI LA MAQUETTE
Rebondir, en créant sa petite entreprise !

L’une des idées reçues attachée à la normalisation est qu’elle
constituerait un outil accessible qu’aux seuls grands groupes. Elle serait trop
technique, trop complexe ou trop chronophage pour les PME et TPE 1 .
Mythe ou réalité ? Erreur ou préjugé fondé ?
Sans qu’il ne soit nécessaire de procéder à des investigations très
sophistiquées, de premiers éléments de réponse s’imposent à celui qui se livre
à une étude objective de cette question.
En effet, il apparaît très vite que TPE-PME et normalisation ne sont
pas inconciliables par nature. L’Allemagne, référence mondiale en matière
de normalisation, voit ses petites et moyennes entreprises très fortement
impliquées en normalisation, à la même table que les grands groupes. Elles
accomplissent quotidiennement des « success stories » au moyen de normes
nationales, européennes ou internationales.
Dans l’hexagone, une facilitation est prévue : les PME et TPE figurent
parmi les acteurs bénéficiant d’une gratuité pour s’investir en normalisation.
Pour autant, une micro entreprise française peut-elle réellement
s’impliquer avec succès en normalisation ? Doit-elle en pratique faire face à
des difficultés en raison de sa taille ?
Le parcours de M. Bruno SAUDEMONT apporte une réponse très
intéressante à cette question. Nouvellement entrepreneur, il s’est attelé au
développement de sa toute petite entreprise tout en s’impliquant en
normalisation. Seul à la tête de la société Prev Sécurité 62, TPE de 2
personnes, il se dirige tout droit vers un succès commercial.
Lors d’un entretien, M. SAUDEMONT ainsi que son coach en affaires,
M. Gaëtan FONTAINE, nous ont présenté leur produit révolutionnaire et
évoqué les débuts très prometteurs de Prev Sécurité 62, grâce à une norme.
Voici leur récit, tel que nous l’avons compris et romancé.

1 Voir glossaire pour le sens de l’acronyme TPE

Ereinté, transpirant, le pas lent mais assuré, il se dirigea vers son véhicule, se mit
au volant et pris la route direction domicile. Tel un métronome sa progression à travers
la ville fut résolue et paisible. Dès qu’il arriva à bon port il coupa le moteur,
tranquillement s’extirpa de son bolide pour avancer jusqu’à son appartement et s’y
engouffrer. Enfin à la maison.
Il attrapa une bière fraîche au frigo et sans plus attendre se désaltéra. Après la
montée en chaleur qu’il avait subie, cette blonde lui fit le plus grand bien. Pour achever
sa descente en température il ôta un à un ses vêtements souillés et se posa un moment
dans un fauteuil. Le repos du guerrier bien mérité.
Enfin requinqué, il s’agissait à présent de se préparer pour la soirée. Le monsieur
était de sortie ! Il ramassa sa tenue de pompier salie de suie laissée au sol et se dirigea
dans la salle-de-bain pour une bonne douche chaude. Rasé, bien habillé, parfumé ni trop,
ni trop peu, il était prêt à faire une bonne impression. Quinze minutes plus tard, il
pénétrait une grande salle bien apprêtée en vue d’un speed dating d’un nouveau genre.
Posés l’un en face de l’autre, chacun une bière à la main, ils commencèrent à faire
connaissance, le premier avide d’un renouveau professionnel, le second désireux
d’accompagner durablement un projet qui tiendrait la route. Empressé de voir poindre
une nouvelle vie, Bruno ouvrit le bal des présentations.
Il évoqua son CAP de mécanicien auto puis sa séparation avec les bancs de l’école
à 18 ans pour se réfugier dans les bras de l’Armée. S’en suivirent vingt années de bons et
loyaux services en tant que brasseur à la Brasserie de Saint-Omer qui le licencia en
2010. Cette rupture fut douloureuse et après deux années d’errements Bruno entreprit
de rebondir en créant sa petite entreprise.
Elle naquit en 2013 et fut aussitôt placée en couveuse d’entreprises pendant
toute une année… mais personne ne crût en son avenir. Peu importe, persuadé de son
potentiel, Bruno décida de persister.
Son activité parallèle de pompier volontaire à Saint Omer pendant vingt-cinq ans
lui avait offert une expertise concrète dans la lutte contre les incendies et permis
d’identifier un besoin sur le marché des produits anti-feu.
Alors qu’il passait en revue tout son parcours professionnel, son vis-à-vis
l’écoutait religieusement. Il s’interrogeait. Avait-il trouvé en Bruno la perle rare qu’il
cherchait ?
Après de belles réussites dans le monde des affaires, Gaëtan avait entrepris de
quitter son Canada natal pour s’installer quelques temps du côté de Saint Omer, contrée
propice à une belle retraite. Les scènes mythiques du film « Bienvenue chez les Ch’tis »
l’avaient tant charmé qu’il entreprit de traverser l’Atlantique pour venir jouir du mode
de vie nordiste. Toutefois, l’oisiveté totale ne figurait pas à son programme ; Gaëtan
ambitionnait de mettre sa belle expérience d’entrepreneur au service de créateurs
d’entreprise locaux.

Le fort accent ch’timi de Bruno ne pouvait que plaire à Gaëtan. A l’oreille, Dany
Boon était tout près. Mais le projet d’entreprise était-il séduisant ? Bruno pris le temps
de bien l’expliquer. Gaëtan parla peu, nullement pour masquer son accent canadien. Il
cogita beaucoup. Ils reprirent une bière. Une St Omer pour Gaëtan, une tout autre pour
Bruno. La bière locale avait acquis un goût beaucoup trop amer pour lui. Bruno ne
pourra sans doute plus jamais déguster une St Omer, bière qu’il avait pourtant
chouchouté pendant vingt ans.
A l’issue de ce speed-dating, les deux hommes échangèrent leur carte de visite et
ce ne fut que le lendemain que Gaëtan se positionna.
Après ce premier rendez-vous, Gaëtan fit le premier pas. Il attrapa son ordinateur
portable et adressa un mail à Bruno pour lui annoncer son souhait d’aller plus loin dans
cette aventure. Il fut conquis par le projet.
En ces temps modernes, la technique n’était toujours pas venue à bout des
risques d’incendie : le feu demeurait une réelle menace pour les Hommes, leurs êtres
chers, leur patrimoine, peu importe que ce feu eut pris sa source dans une friteuse
défectueuse ou dans une voiture accidentée ou saccagée.
Bruno savait parfaitement que la chaleur d’un véhicule incendié pouvait s’élever
jusqu’à 1500-1600°C, notamment en raison des mousses et des composites, et aboutir à
une fonte totale du bloc moteur. Pour éteindre une telle flambée, les pompiers pouvaient
recourir pendant près de quatre heures à deux lances débitant chacune cinq cents litres
d’eau à la minute.
Notre pompier volontaire avait également identifié que les couvertures anti-feu
n’étaient pas suffisamment sécurisantes. Certaines, pourtant conformes, pouvaient
fondre au contact d’une forte chaleur voire prendre feu. Le manquement sécuritaire
était tel qu’en Europe certains pays s’étaient résolus à restreindre voire interdire les
couvertures anti-feu.
Notre ancien brasseur comptait alors se relancer grâce à une couverture anti-feu
révolutionnaire. Conçue dans un tissu inédit composé de différents alliages, l’innovation
qu’il avait développée présentait bien des avantages.
En 2014 alors tout jeune entrepreneur, Bruno avait été approché par un fabricant
de couvertures pour les feux de voiture. Les tests alors pratiqués sur le produit de ce
fabricant s’étaient avérés prometteurs mais il devait encore être perfectionné. Bruno ne
donna pas suite à cette sollicitation et ce fut finalement en utilisant un tissu industriel
employé initialement pour un tout autre usage qu’il parvint à générer le bon produit.
Contrairement à toutes les couvertures anti-feu alors disponibles sur le marché,
celle bâtie par Bruno était pourvue d’une caractéristique fort intéressante : elle était
réutilisable. Tout comme un gant en silicone qu’un cuisinier sollicitait à l’infini pour
retirer un plat du four, cette couverture anti-feu pouvait être employée pour lutter
contre un brasier un nombre incalculable de fois.
Elle disposait également d’une capacité d’étouffement d’un foyer. Au lieu de déverser
des centaines de litres d’eau pour parvenir à annihiler jusqu’aux dernières braises d’une
fournaise, les combattants du feu pourraient désormais faire l’économie du précieux

liquide en asphyxiant la combustion. Et les bienfaits de cette innovation ne se limitaient
pas à cela !
Le début du XXIème siècle annonçait l’avènement de la batterie au lithium. Ce
composant était appelé à un développement majeur, en premier lieu dans les téléphones
portables et les voitures électriques. Toutefois, sa combustion constituait des défis sans
précédents.
En cas de départ de feu d’une batterie au lithium, les flammes étaient sans
commune mesure ; elles atteignaient jusqu’à deux mètres de haut et un mètre de large
pour un simple smart phone. A ce risque il fallait ajouter tous les risques toxiques. La
combustion de ce type de batterie provoquait l’émanation de diverses substances
toxiques tel que le cyanure. Aussi, à l’issue d’une grosse flambée, les pompiers devaient
se soumettre à un processus de décontamination de leurs vêtements afin de se
débarrasser des particules au lithium collées dessus.
Face à ces nouveaux défis, la couverture anti-feu de Bruno allait constituer une
solution extrêmement utile. En plaçant la couverture sur le téléphone ou sur la voiture
dès le début de la combustion, il serait possible de mettre un terme au feu en l’étouffant
et ainsi de préserver l’environnement et les Hommes en évitant une propagation de
substances dangereuses dans l’air et dans les eaux usées.
De même, cette couverture disposait d’un énorme potentiel partout où le recours
à de grandes quantités d’eau ou de mousse posait problème. Lorsque le combat contre
un feu aurait lieu à proximité directe d’œuvres d’art, celles-ci pourraient beaucoup plus
aisément sortir indemnes des étreintes des flammes et des trombes d’eau en les
enveloppant dans cette couverture révolutionnaire. Un Picasso, un Monet, un Van Gogh
ou La Joconde ne pouvaient disparaitre en raison d’un incendie accidentel ; ces chefs-
d’œuvre devaient éternellement être préservés des flammes comme de l’eau des lances
à incendie.
L’innovation était remarquable et Bruno n’était désormais plus tout seul à croire
en ce produit. A présent Gaëtan était à ses côtés pour l’aider à faire grandir sa toute
petite entreprise.
La bonne surprise fut de découvrir que les deux décennies passées à la Brasserie
de St Omer ne furent pas vaines. Ce fut en effet en tant que brasseur que Bruno
découvrit l’existence du groupe AFNOR au travers des normes de management de la
qualité 2 et de la certification AFAQ ISO 9001 3 . Aussi, Bruno et Gaëtan entreprirent de

2 La norme internationale ISO 9001 relative aux systèmes de management de la qualité
est sûrement la norme ISO la plus connue. Désormais la série de normes portant sur les
systèmes de management de la qualité comporte quatre normes (ISO 9000 : 2015
Systèmes de management de la qualité – Principes essentiels et vocabulaire, ISO 9001 :
2015 Systèmes de management de la qualité – Exigences, ISO 9004 : 2018 Systèmes de
management de la qualité – Qualité d’un organisme – Lignes directrices pour obtenir des
performances durables et ISO 19011 : 2018 Lignes directrices pour l’audit des systèmes
de management). Ces normes génériques visent à aider tout organisme, quels que soient
sa taille et son domaine d’activité, à gagner en efficacité et à accroitre la satisfaction de

contacter l’AFNOR dans le but d’obtenir les différentes normes en vigueur se rapportant
à la couverture anti-feu. Il s’agissait tout particulièrement de savoir s’il existait des
normes anti-feu à l’égard des feux de friteuse, de la protection des personnes, des
véhicules et des œuvres d’art. Une fois la veille normative faite, viendrait le temps de la
vérification de la conformité de la couverture innovante aux référentiels déjà en vigueur.
Les tests effectués auprès du CNPP (Centre National de Prévention et de
Protection) furent implacables et à même de convaincre les plus sceptiques. Cette
couverture anti-feu passait haut la main la norme en vigueur. Le produit étant
dorénavant fin prêt ; le travail à venir consistait à opérer sa rencontre avec son marché.

« La couverture qu’on a mise au point ne pourrait jamais rencontrer
des exigences plus élevées, elle est même trop capable. »
Gaëtan FONTAINE
Coach en affaires

En 2015, par l’entremise du CNPP, l’AFNOR vint aux devants de l’entreprise de
Bruno, Prev Sécurité 62, à l’occasion de la révision quinquennale d’une norme anti-
incendie. Comme pour chaque norme, tous les cinq ans l’AFNOR avait pour mission de
rechercher et solliciter toutes les parties prenantes 4 (fabricants, laboratoires,
utilisateurs, distributeurs, consommateurs, ONG, ministères et autorités publiques, etc.)
afin d’obtenir leur point de vue sur le devenir de la norme : fallait-il la maintenir en
l’état, la modifier ou la supprimer ?
Devenue obsolète, peu sécurisante, le sort de la norme « EN 1869 Couvertures
anti-feu » était en fait scellé : aucune partie prenante ne milita pour son maintien en
l’état, bien au contraire. Elle ne pouvait qu’être réécrite ou purement et simplement
annulée. Pour notre micro entreprise Prev Sécurité 62, ce fut une opportunité pour
s’impliquer en normalisation et prendre l’ascendant sur son marché.

ses clients et/ou parties intéressées. L’un de ses fondements est le principe
d’amélioration continue. Dans certains secteurs, une norme spécifique a été élaborée
afin d’adapter la norme ISO 9001 au secteur concerné. C’est notamment l’intérêt des
normes ISO 13485 : 2016 Dispositifs médicaux – Systèmes de management de la qualité
– Exigences à des fins réglementaires et ISO/TS 22163 : 2017 Applications ferroviaires –
Système de management de la qualité – Exigences liées au système de management de
l’activité à destination des organismes ferroviaires : ISO 9001 : 2015 et exigences
particulières concernant les applications dans le secteur ferroviaire
3 Se faire certifier AFAQ ISO 9001, quels que soient la taille et le domaine d’activité de
l’organisme concerné, consiste à solliciter un organisme certificateur indépendant, ici
AFNOR Certification, pour faire attester que son organisme est bien entré dans une
démarche de management de la qualité conforme aux exigences de la norme
internationale ISO 9001. Voir également le glossaire.
4 Voir glossaire

C’est ainsi que Bruno SAUDEMONT se mit à faire régulièrement la route entre St
Omer (62) et St Denis (93) pour s’investir dans la révision de la norme EN 1869. Bruno
découvrit la normalisation de l’intérieur, son mode de fonctionnement, ses échéances,
son jargon. Il y eu beaucoup à apprendre et beaucoup à y gagner.
Pas à pas, la révision de cette norme permit d’actualiser les exigences sécuritaires
qu’elle contenait. Les différents membres de la commission de normalisation française
S61E, à savoir des fabricants, des représentants de ministères et des organismes en
charge de l’évaluation (un laboratoire et un organisme certificateur), se réunirent pour
examiner, sous-peser et redimensionner chacune des exigences de la norme européenne
sur les couvertures anti-feu. Périodiquement, la position des acteurs français fut
confrontée à celle de leurs homologues européens impliqués, ce qui permit
progressivement de forger un consensus européen.
Pour une micro entreprise de deux personnes, s’impliquer dans ces travaux
normatifs aboutit à s’attribuer un accès à la scène européenne identique à celui de
toutes les autres entités également investies quelle que fut leur taille. Quant à l’influence
effective de Prev Sécurité 62 sur le contenu même de la norme, elle ne dépendit que de
l’expertise et de la force de conviction de Bruno.
Notre TPE fut alors parfaitement en mesure d’anticiper les évolutions du
référentiel sécuritaire de son produit et pu maitriser le devenir de son innovation.
Mieux encore, la normalisation accorda à cette toute petite entreprise du Pas-de-
Calais un accès au grand marché européen, les normes européennes étant en vigueur
non seulement à travers les 28 Etats membres de l’UE mais également dans six autres
pays 5 . Une conformité à la future norme européenne EN 1869 décernerait
automatiquement à Prev Sécurité 62 un potentiel commercial a minima dans ces 34
pays.
A travers tous ces territoires, la liste des clients possibles s’avéra considérable. La
couverture anti-feu de Bruno et Gaëtan disposait d’intérêts pour les constructeurs
automobiles, pour tous les avionneurs. Les musées, les pompiers, les forces de l’ordre
mais aussi tous les particuliers devenaient des utilisateurs envisageables.
Bruno eut donc raison de croire en sa petite entreprise. Gaëtan eut du flair en
décidant d’accompagner ce projet. Le potentiel de Prev Sécurité 62 était énorme.
Observatrice du développement de cette micro entreprise, le 18 octobre 2018
lors de sa cérémonie annuelle Les Trophées Or Normes 6 , l’AFNOR récompensa Prev
Sécurité 62 dans la catégorie « Protéger les personnes ».
Que de chemin parcouru depuis le départ douloureux de la Brasserie de St Omer !

5 Les normes européennes sont applicables dans les 28 Etats membres de l’UE, ainsi
qu’en Islande, Norvège, République de Macédoine du Nord, Serbie, Suisse et Turquie. De
plus, à travers le monde elles bénéficient d’une certaines aura voire sont parfois citées
dans les réglementations de pays non européens.
6 Chaque année, l’AFNOR remet des Trophées Or Normes a des personnes ou organismes
qui se sont particulièrement illustrés en normalisation

En août 2019, la norme européenne « NF EN 1869 : 2019 Couvertures anti-feu »
fut publiée. Pour autant, l’histoire ne s’arrêta pas là. Bruno et Gaëtan ambitionnèrent de
développer leur activité en travaillant notamment sur la recherche de nouveaux clients,
l’augmentation de leurs capacités de production, la déclinaison de leur innovation en
diverses applications et l’élaboration de toutes nouvelles normes européennes anti-feu.
L’embauche de collaborateurs pourrait même rapidement intervenir.
Souhaitons une belle et longue vie à Prev Sécurité 62 !

IMPATIENT DE LA SORTI !!!

Un article de remerciement sera publié en fin d année
et l annonce de la sorti du livre

NORME 1866 NF EN 1869

Voila plus de 3 ans de travail ,pour la révision de la norme NF EN 1869 de la couverture anti feu .
Elle vient être d’apparaître sous référence NF EN 1869 Août 2019.
Une nouvelle norme est en cour pour la protection des biens, et j’intègre un nouveau groupe de travail ,les feux de lithium
L aventure continue avec AFNOR

Les voitures électriques n’ont plus la cote auprès des assureurs

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