Sur site ou en atelier dans les locaux, l équipe technique de Protec Sentinel propose des services sur-mesure pour l’ignifugation de vos Oeuvres et Biens Culturels , la confection d’équipements de protection spécifiques
Protec Sentinel formule et fabrique des produits ignifuges, des protections ignifugées et confectionne des housses ou bâches ignifugées. On répond à tout vos besoins spécifiques en matière de protection passive contre l’incendie.Musées etc
QU’EST CE QUE LE FEU ?
Le feu est la production d’une flamme et la dégradation visible d’un corps par une réaction chimique d’oxydo-réduction exothermique appelée combustion. De manière générale, le terme « feu » désigne souvent un phénomène produisant de la lumière et de la chaleur, qu’il provienne d’une combustion ou non.
LE RISQUE INCENDIE
Le risque incendie est partout! Tout matériau combustible est susceptible de propager un incendie. Pour éviter qu’il se propage, et retarder le temps d’inflammation, il existe plusieurs techniques d’ignifugation. A défaut, des matériaux spécifiquement ignifugés à la fabrication peuvent aussi être utilisés pour limiter le risque incendie.
QUELS SONT LES MATÉRIAUX CONCERNÉS ?
Tous les matériaux sont affectés par le feu. Les matériaux combustibles (à base de matrices végétale ou animale – toutes organiques) brûlent et propage alors l’incendie. Ils perdent aussi leurs caractéristiques physiques durant cette dégradation. Il est possible d’améliorer à la fois la réaction et la résistance au feu dans certains cas. Modifier le comportement au feu peut se faire à sa production, à la suite de sa production ou même une fois en situation.
Les matériaux incombustibles sont eux aussi affectés par la perte de leurs caractéristiques physiques, en particulier leur résistance mécanique qui peut chuter dramatiquement (comme le fluage de métaux provoquant l’effondrement). Dans ces cas de figures des protections externes sont possibles pour fortement changer le comportement au feu des métaux ou du béton.
QU’EST CE QUE LA PROTECTION PASSIVE ?
Alors que la protection active est principalement curative, visant à secourir les victimes et à éteindre un feu aussi vite que possible après sa détection, la protection passive contre l’incendie dans les bâtiments est essentiellement préventive. Elle représente l’ensemble des mesures constructives permettant à un ouvrage ou une partie d’ouvrage de résister à un incendie pendant un temps prédéterminé fixé par la réglementation de construction en vigueur pour le type de bâtiment concerné et à limiter son apparition et sa propagation afin de permettre l’évacuation.
DANS QUELS SECTEURS D’ACTIVITÉ ?
La protection passive contre l’incendie se retrouve principalement dans les secteurs de la construction (Habitations Collectives, Etablissements Recevant du Public, des Travailleurs, etc.), les transports maritimes, ferroviaires, aériens et routiers, l’industrie (emballages, confinements, etc.) et l’aménagement (mobilier, décor de spectacles, salons, etc.)
LA PROTECTION DES PERSONNES
Le but principal de la protection passive contre l’incendie est la protection des personnes afin de permettre leur évacuation: limiter l’ignition et la propagation des flammes, mais aussi réduire les risques liés aux fumées aussi bien terme d’opacité que de toxicité.
AU CŒUR DES ENTREPRISES. À la tête de Prev’Sécurité 62, Bruno Saudemont, par ailleurs pompier volontaire à Saint-Omer, a mis au point une couverture anti-feu pour laquelle il s’est associé avec Apronor.
Marion Clauzel | 22/04/2019 Voix du Nord
1
Des extincteurs à la couverture anti-feu
Au départ, Bruno Saudemont, pompier volontaire, est spécialisé dans les extincteurs. Il les installe et les entretient via sa société prestataire de services dans le domaine de la sécurité incendie, Prév’Sécurité 62, une entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL). Il a aussi mis au point une couverture anti-feu, désormais commercialisée. C’est la société Apronor près de Rouen qui la fabrique. Pour ce projet, Bruno Saudemont s’est associé avec Apronor. La marque Protech Sentinel a été déposée. La couverture anti-feu peut servir à protéger des flammes des œuvres non transportables, quand elle vient recouvrir une statue ou un tableau. Elle peut aussi permettre d’étouffer rapidement un incendie de voiture ou un feu de poubelle, sans avoir recours à l’arrosage. « Cette couverture à base de fibre de roche est imperméable à l’eau, lavable et recyclable », précise Bruno Saudemont.
2
Des plans de sauvegarde des œuvres
Depuis 2018, la couverture anti-feu mise au point par l’Audomarois Bruno Saudemont. Il essaie aussi de convaincre les musées et les bibliothèques de sauvegarder leurs œuvres, en adoptant des plans de sauvegarde des œuvres (PSO). Ce type de plan permet aux secours d’évacuer et de sauvegarder les œuvres présentes dans un établissement ou un monument selon un périmètre établi, en cas d’incendie. La cathédrale Notre-Dame de Paris, victime des flammes, lundi soir, bénéficiait d’un PSO. C’est aussi le cas du musée Sandelin à Saint-Omer qui a été l’un des premiers clients de Bruno Saudemont.
3
Pour quels clients ?
Outre le musée Sandelin et son PSO, les clients de Bruno Saudemont sont très variés. Il a équipé en couvertures anti-feu le Château de Grignan ou encore un musée à Châlons-en-Champagne. Parmi ses clients, figurent aussi des privés qui veulent protéger des tableaux chez eux. Prev’Sécurité est contactée par Internet pour des demandes de devis. Reste que pour les couvertures, comme pour les PSO, c’est souvent le budget qui coince.
Norme ISO 21110 sauvegardes des biens culturels du patrimoine La norme ISO 21110 a pour domaine d’application le suivant :
Le présent document fournit un contexte pour la planification, la réponse et le rétablissement des fonds ou collections face aux situations d’urgence, compte tenu d’autres plans existants. Le présent document donnera aux intervenants et autres parties prenantes un schéma général pour la planification, la réponse et le rétablissement. Le présent document ne traite pas des causes d’un incident, mais de ses conséquences et de ses impacts au sens large. Il établit des exigences pour tous les types de fonds et collections d’archives et de bibliothèques.
Je ne connais pas les motivations de la commission miroir française qui suit le comité ISO en question, mais parfois il est plus intéressant de soutenir une norme internationale plutôt qu’une NF pure, car cela permet un meilleur dialogue entre les pays qui l’appliquent et une meilleure interopérabilité (le même document sert de référence dans plusieurs pays).
PSO18.fr/ http://pso18.fr/ Se présente au concours La Fabrique d Aviva Le projet est le partenariat de plusieurs petites entreprises de l Audomarois et une petite structure Québécoise .
-Prev Sécurité 62 (Bruno Saudemont ) montage et mise place du PSO
– Amaury Desbas ( développeur et mise en place du PSO sur site internet ) -PIERRE VAILLANCOURT ( une petite structure Québécoise chargée du site internet du PSO .
Le plan de sauvegarde des oeuvres PSBC permet d’optimiser la prise en charge des différentes oeuvres et ainsi de les préserver de l’eau et des fumées. Les éléments les plus petits, légers, et les plus accessibles seront souvent déplacés. En revanche, pour les autres, il faut mettre en place des housses, souvent sur mesure. Une bonne sécurisation se fait grâce à un inventaire des oeuvres (définition des oeuvres prioritaires) et à la mise en place de moyens de protection passive.
Nous vous proposons différentes options, adapté à la réalité de votre organisation, pour préparer un PSO selon vos besoins et en conformité́ avec la réglementation en vigueur. Un PSO facile à utiliser, pour vous et les intervenants, advenant un événement déclencheur fâcheux et permettant une intervention efficace et rapide des sapeurs-pompiers.
Prev Securite 62 et protech Sentinel vous propose un accompagnement technique dans l’étude et la mise au point de confections (en tissus M0 et feutre ), en adaptant nos solutions à chaque spécificité. Nous réalisons la confection de vos housses de protection anti feu pour oeuvres (tableaux, vitrines, armoires …)
Catastrophe culturelle évitée à Menton: la majeure partie des œuvres du musée Cocteau devrait être sauvée
Au musée Cocteau de Menton, où une bonne partie de la collection s’est retrouvée inondée à la suite du coup de mer survenu dans la nuit de lundi à mardi, les nouvelles sont bonnes.
D’après les premières observations de la restauratrice en arts graphiques envoyée par la Drac (Direction régionale des affaires culturelles) une majorité des toiles et dessins pourra être sauvée.LE SOULAGEMENT
« Je suis soulagée, c’est tout à fait traitable. Heureusement, tout a été très bien en pris en main, très vite. Ma première constatation, c’est qu’il y a eu une bonne organisation, avec de la place et des personnes disponibles », a ainsi commenté Silvia Brunetti, au milieu des œuvres restées provisoirement au musée.
Autour d’elle, les sapeurs-pompiers (parmi lesquels 12 jeunes sapeurs pompiers de Contes, et des professionnels de Cannes et de Cagnes-sur-mer) ainsi que les équipes des musées de Menton et de Nice, s’activent justement pour remplir les camions.
Afin de tout transporter, progressivement, au Palais de l’Europe, où elles pourront être séchées.
PREV SECURITE 62 PEUT VOUS AIDER A L’ÉLABORATION PLAN DE SAUVEGARDE DES ŒUVRES ET DES BIENS CULTURELS
Si les biens patrimoniaux souffrent avant tout du passage du temps, ils sont aussi fréquemment touchés par des accidents : inondations locales ou grandes crues, incendies mais aussi séismes, tempêtes ou explosions industrielles peuvent endommager ou détruire un patrimoine précautionneusement protégé depuis des siècles.
LE PLAN D’URGENCE
Les principaux objectifs du plan d’urgence sont :
la sensibilisation de l’ensemble des personnels aux différents risques (incendie, inondation, mais aussi tempête, glissement de terrain, accident industriel…) ;
la prévention des risques d’incendie et d’inondation encourus par les collections, le but étant de tout faire pour que ces accidents ne se produisent pas ;
la prévision des interventions, c’est-à-dire tout faire et tout préparer pour que, en cas de sinistre inévitable, les interventions soient possibles rapidement et facilement pour éviter les conséquences les plus graves et minimiser les dégâts.
Prev Sécurité 62 plan d urgence :
Un plan d’urgence est un document écrit, propre à chaque établissement, qui est établi en fonction des ressources humaines et financières disponibles. Le plan traite des mesures de prévention permettant au personnel de réduire les risques et de l’intervention en cas de sinistre, afin de minimiser les dommages subis par les collections.
La mise en œuvre d’un plan d’urgence est propre à chaque établissement ; il est adapté aux spécificités de votre institution et de vos collections.
Procède par étape
création d’un comité d’urgence (désigner un responsable du plan d’urgence qui dirigera une équipe chargée de mettre au point un plan bien adapté à l’établissement),
collecte des informations concernant l’établissement,
rédaction du plan,
diffusion du plan,
mise en œuvre du plan.
Vous aide pour rédiger un plan d’urgence
Les objectifs d’un plan d’urgence sont :
d’éviter tout sinistre qu’il est possible de prévenir ;
de se préparer à faire face à ceux qu’il est impossible de prévenir ;
de réduire les pertes d’informations;
de minimiser les dommages dans les cas où les sinistres sont inévitables ;
d’assurer l’efficacité maximum des efforts de récupération à la suite d’un sinistre.
La rédaction d’un plan d’urgence englobe trois étapes :