AU CŒUR DES ENTREPRISES
A LA TETE DE PREV SÉCURITÉ 62 ,BRUNO SAUDEMONT ,PAR AILLEURS POMPIER VOLONTAIRE A SAINT OMER A MIS AU POINT UNE COUVERTURE ANTI FEU POUR LAQUELLE IL S EST ASSOCIE AVEC BAPTISTE BIOCHE DE LA SOCIÉTÉ APRONOR.


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AU CŒUR DES ENTREPRISES
A LA TETE DE PREV SÉCURITÉ 62 ,BRUNO SAUDEMONT ,PAR AILLEURS POMPIER VOLONTAIRE A SAINT OMER A MIS AU POINT UNE COUVERTURE ANTI FEU POUR LAQUELLE IL S EST ASSOCIE AVEC BAPTISTE BIOCHE DE LA SOCIÉTÉ APRONOR.


ARTICLE FACE AU RISQUE
David Kapp
Incendie de Notre-Dame, les 10 leçons du drame

16/04/2019 – David Kapp – 5min
Risques cyber et changement climatique occupent les Unes des journaux – y compris les nôtres, mais l’incendie reste toujours le danger numéro 1 : pour les entreprises, pour le patrimoine, pour le public. Il ne faut pas l’oublier.
24 hectares de forêt avaient été nécessaires pour construire la charpente du toit de l’édifice. En moins de trois heures, deux tiers étaient consumés.
Le feu détruit… Il n’y a rien qui puisse être épargné. Quand ce ne sont pas les flammes ou la chaleur, ce sont les fumées qui réduisent à néant les bâtiments. Alors les eaux d’extinction finissent par achever les ruines encore fumantes.
Certes les dégâts sont conséquents, mais il est toujours possible de sauver les meubles et les œuvres par une organisation méthodique. Le détachement des sapeurs-pompiers du Louvre aurait été à la manœuvre en soutien.
La 43e compagnie, Unité élémentaire spécialisée Louvre (UES Louvre), a été créée en 2008 selon le site de la Brigade. Elle est forte de 46 sapeurs-pompiers et a pour mission d’assurer la sécurité des personnes et des biens 24h/24 sur le site du musée du Louvre. Rattachée au Groupement des appuis et de secours (GAS) depuis 2011, elle est composée de deux centres de secours spécialisés (CSS) : le CSS Louvre (PC de compagnie) et le CSS Carrousel. Voir la leçon n° 8. En attendant, avec les conditions relevées sur le terrain, la sauvegarde des œuvres est un véritable succès.
Personne ne connaît l’avenir. Hier devait se tenir la grande messe présidentielle et c’est un tout autre spectacle, tragique, qui s’est déroulé devant les yeux des badauds impuissants. Il n’y a jamais de bon moment pour un incendie, mais ils surviennent toujours quand il ne faut pas : à 18h50, alors que les bouchons battent leur plein dans la capitale, que les renforts sont difficiles à acheminer, dans un endroit exigu, sur la toiture, en restauration. La présence de la Seine à proximité immédiate a pu constituer un appui, mais le vent était particulièrement fort et soufflait en direction des tours ce qui était défavorable.
On peut toujours dater, même après coup, le début d’un incendie mais il est plus difficile de savoir quand il sera maîtrisé et éteint. Au plus fort du sinistre, des températures de 1 000°C ont été relevées par les sapeurs-pompiers de Paris.
A ces températures, on imagine sans mal l’incroyable difficulté d’éteindre et de sauvegarder quoique ce soit. La ruine totale de l’édifice a été évitée et c’est en soi un miracle.
Le travail des enquêteurs ne sera pas facile au regard des destructions. Le chantier était-il contrôlé ? Ce contrôle était-il informatisé et enregistré ? Y avait-il des autorisations spécifiques ? Des permis de feu étaient-il en cours et respectés ? Les questions ne manqueront pas d’être soulevées. Il faudra croiser les témoignages des ouvriers et vérifier les données matérielles.
Même si les travaux ne sont pas à l’origine de l’incendie, il n’y a pas de doute sur le fait qu’ils ont compliqué la tâche des sapeurs-pompiers, rendant difficile les accès, apportant du potentiel calorifique, fragilisant les cheminements…
Bien évidemment se pose la question de la responsabilité, mais dans un bâtiment qui, comme beaucoup d’œuvres uniques, n’est pas assuré parce qu’inassurable, ces responsabilités ne permettront pas de rattraper ou réparer ce qui a été détruit. Au plus nourriront-elles une vindicte populaire.
Construite à partir de 1163, terminée en 1345, Notre-Dame de Paris était évidente et installée pour toujours. Personne ne peut supposer que tout est éternel. Tous les monuments et tous les édifices connaissent les mêmes risques et doivent être protégés. La poussée soudaine de certains risques, comme le terrorisme, ne doit pas occulter les autres risques permanents et toujours aussi prégnants. C’est aussi une leçon à actualiser dans d’autres endroits où un véritable tunnel émotionnel empêche de correctement graduer la menace.
La stupidité n’a pas de frontière et dépasse même les murs qu’on érige pour se protéger. De l’autre côté de la frontière mexicaine, il est un président dans son royaume qui n’en est pas avare. Outre que l’eau mouille et fragilise, l’envoi d’une grande quantité d’eau depuis le ciel conduirait sous la pression à la ruine de l’édifice. On verra dans les jours prochains les dégâts des lances d’extinction pour finir de se convaincre qu’un largage d’eau, même d’un hélicoptère, est une aberration.
Alors que trois centres de secours se trouvent à moins de deux kilomètres et peuvent atteindre l’édifice en moins de deux minutes, la présence d’une équipe sur place aurait été un plus indéniable, surtout dans les premiers instants qui peuvent permettre d’éviter un emballement et correctement lever le doute.
Il existe des détachements de la BSPP dans les grands monuments de la capitale : le Louvre, le musée d’Orsay, la Bibliothèque nationale, les Archives nationales, et même à Kourou en Guyane, mais aucun à Notre-Dame de Paris. Comme tous les lieux symboliques de Paris, le monument doit gérer des évacuations sanitaires, des départs de feu qui seraient tous mieux gérés si la Brigade était sur place. La faute est sans doute au statut particulier de l’édifice.
Deux policiers et un sapeur-pompier ont été blessés pendant les neuf heures de combat contre les flammes. Mais aucune personne du public, venu pourtant nombreux, ou parmi les fidèles présents dans les premiers instants du drame n’a été blessée. C’est un succès ! Cela signifie aussi que l’équipe de sécurité sur place a bien fait son travail en privilégiant la sauvegarde du public.
Le succès est d’autant plus grand que les sapeurs-pompiers de Paris ont été confrontés à une terrible et effroyable fournaise et ont tout fait pour préserver les deux tours. Un exploit au regard des conditions particulièrement éprouvantes de l’incendie.
Combien de fois ici-même avons-nous mis en lumière les dangers des travaux ou la fragilité du patrimoine vis-à-vis des risques ? En février dernier nous consacrions notre dossier aux travaux par point chaud. Combien d’incendies similaires ont été traités dans nos colonnes ? Dans notre prochain numéro, nous reviendrons sur le cas de Notre-Dame et notre dossier du mois, hasard du calendrier, sera consacré à l’utilité du retour d’expérience. Il n’est pas trop tard pour en prendre conscience.

David Kapp
Rédacteur en chef
la société Prev Securité 62 ,en 2013, Il a mis au point une couverture spéciale utilisée pour éteindre rapidement un incendie dans une voiture. La couverture de feu de voiture peut isoler rapidement la voiture pour éviter la propagation du feu. Montage facile par deux personnes et le feu en étouffe la privant d’oxygène, en réduisant les émissions de fumée.
Maintenant fabriqué sous le nom Protech-Sentinel
La couverture anti feu pour voiture, est-ce utile ?
Utile, pourquoi ?
Si un incendie survient dans votre véhicule suite à un accident par exemple, la
couverture anti feu peut vous permettre :
d’éviter un embrasement du véhicule,
d’empêcher la propagation du feu à d’autres
véhicules ou aux infrastructures environnantes,
d’arrêter efficacement l’émanation des fumées
toxiques et opaques,
de limiter les dégâts occasionnés par le sinistre,
de faciliter le contrôle du sinistre par les pompiers.
Si les vêtements d’un des passagers présents dans
le véhicule s’enflamment, la couverture anti feu devra servir à envelopper
cette personne pour éviter qu’elle ne soit brûlée.
Comment s’en servir ?
Quel que soit le modèle, une couverture anti feu est très facile à utiliser.
Elle se présente dans un boitier rigide ou souple et elle est composée d’une
matière textile ignifugée ou d’une matière peu ou pas combustible.
Dans tous les cas, il suffit de
tirer sur les deux rubans qui dépassent pour sortir la couverture de son
boîtier, de la prendre par ses extrémités en enroulant ses mains à l’intérieur
pour les protéger des flammes et de recouvrir la voiture ou le passagers
touchés par le feu. Laissez là en place pendant une durée minimum de 20 minutes
pour assurer l’étouffement complet du feu. L’idéal consiste à ce que ce soient
les pompiers préalablement avertis qui se chargent de la retirer une fois sur
place.
Comment l’entretenir ?
La couverture anti feu Protech-Sentinel n est pas à jeter suite à sa première
utilisation . Si vous ne vous en êtes pas servi, il vous faut chaque année la
sortir de son étui et l’examiner soigneusement.
Le 15 Juin 2019
Nous serons à Lumbres avec les sapeurs-pompiers pour faire une démonstration de
l’efficacité de nos couvertures.#prevesecurite62
#protechsentinel #lumbres #sdis62 #JonathanCARUSO #StéphaneCOLIN#JoëlleDELRUE
Pour relire les Enquêtes de Watson consacrées à la sauvegarde du patrimoine : http://bit.ly/2IwehT7
Avec des témoignages de Aude Mansouri de l’Association FFCR, Charlotte Le Grelles d’ HEPHATA Evènements & Châteaux, Nicolas Dias de la Fondation du Patrimoine (à l’époque de la parution de l’interview), Bruno Saudemont de Prévention Sécurité
Merci encore Mon cher Watson (Aurélie Romand)pour l’article
https://www.moncherwatson.fr/…/Protection-incendie-musees-p…
#incendienotredamedeparis
#protectiondesbiensculturels
#pso18fr
#prevsecurite62
#cathédrale
#Intervention#NotreDame
https://bit.ly/2IwehT7?fbclid=IwAR2i0E9A8n2BB7Z8I1u-faT07H_wgOI20BbDeQdKgyktM4xiUgfLzPLgov0
01/10/2018
parAurélie R.
Le 3 septembre dernier, l’incendie du musée de Rio au Brésil a ému le monde.
Mon cher Watson a choisi d’enquêter sur la protection des œuvres d’art et artefacts conservées dans les musées. Feu, inondation, insecte, Watson va faire le tour des risques qui guettent notre patrimoine.
Pour ce premier chapitre, nous avons rencontré Bruno Saudemont, pompier volontaire et créateur de l’entre Prev Sécurité 62 qui met en place des stratégies de prévention contre les risques d’incendie dans les établissements recevant du public.

– Bonjour Bruno, pouvez-vous nous présenter votre parcours professionnel ?
Je suis sorti de l’école à 18 ans avec un CAP mécanicien auto. Je suis entré dans le monde du travail, en parallèle de mon activité de sapeur-pompier volontaire – activité que j’exerce toujours. Suite à un licenciement en 2010, j’ai suivi une formation « création d’entreprise » en 2011/2012 et j’ai créé mon entreprise 2013
– Qu’est-ce que Prev Sécurité 62 ?
J’ai créé mon entreprise en autoentrepreneur le 5 mai 2013. Suite à un bon développement de l’entreprise, en juillet 2016, Prev Sécurité 62 est passé au statut EIRL.
Mon champs d’opération principal est assez large. Il va de la vente, l’installation et la maintenance des extincteurs, la formation incendie, l’élaboration de plans d’évacuation et d’intervention, la mise en place des POI (plan d’opération interne), de plans de sauvegarde des œuvres d’art, l’installation d’alarmes type 4 permettant de lutter contre les incendies, l’installation de BAES (bloc autonome d’éclairage de sécurité) à la mise en conformité des établissements recevant du public.
Ma deuxième activité est en développement. Je travaille à la mise en place de couvertures, housses, pochettes anti-feu pour les musées principalement. Ces protections peuvent servir également pour d’autres activités comme les bibliothèques par exemple. La résistance de nos produits est 900°C pendant 30 minutes. Elles sont également anti-acide et imperméables a l’eau.

– En quoi la sécurité incendie est-elle un enjeu pour les musées et leurs réserves ?
La raison principale est tout simplement le risque de la perte de l’œuvre. Sans aller jusque là, il y a aussi la détérioration de l’œuvre. Les conséquences sont des frais considérables pour permettre la restauration de l’œuvre (même s’il ne sera plus vraiment « l’original ») ; c’est surtout la perte de notre histoire et de notre patrimoine historique ou culturel.
Un musée est aussi un symbole et lieu important dans le cœur d’une ville. Un incendie, c’est une perte pour le musée, c’est un risque de perte d’argent s’il doit fermer, voir aussi un risque de chômage technique pour le personnel.
La sécurité incendie, c’est surtout faire une prévision des risques. C’est prévoir les moyens de lutte en cas de déclaration d’un incendie,, et les moyens à mettre en œuvre pour empêcher la propagation des flammes et maîtriser le sinistre.

– Comment se déroule une mission type ?
L’audit se passe en plusieurs temps :
– Les projets de sauvegarde incendie peuvent-ils être utilisés dans d’autres cas ?
Oui, les couvertures peuvent être utilisées contre les eaux d »extinctions ou les inondations. Elles résistent aux PH acides et base
Merci à Bruno Saudemont pour ses réponses à nos questions.
On redoute toujours le moment ou notre patrimoine part en fumée…
Nous avons la solution pour protéger vos oeuvres !
D’après une image de drone de la police à laquelle a eu accès un reporter de franceinfo, « les 3/4 de la cathédrale sont encore en feu », seules les deux tours sont pour le moment épargnées. 400 pompiers sont mobilisés
Notre direct : https://mobile.francetvinfo.fr/…/direct-paris-un-incendie-p…

j espère le PSO est au top pour au moins sauver les œuvres à l intérieur.
La prévention et prévision sont importantes ,le risque 0 n existe pas.
Début de la construction : 1163
856 ans, elle a survécu à deux guerres , et la avec les moyens que l on possède ,elle part en fumée , une des meilleurs surveillances elle est humaine aussi!!!
il y a une surveillance a faire après travaux par points chauds!!!
le 15 juin 2019
Protech-Sentinel procédera à l’ extinction d un feu de voiture a l aide de sa couverture anti feu avec une charge calorifique pour atteindre les 1000°C au centre de secours de Lumbres ,lors de la porte ouverte le 15 juin 2019 .
Ainsi des essais aux publics de la pochettes anti feu pour les batterie au Lithium , extinction feu de friteuse .
Merci aux pompiers collègues de Lumbres pour l invitation
, Frederic Bay et l amicale des SP de Lumbres

https://www.youtube.com/watch?v=OCGYYY-BapE
RENDEZ VOUS
LE 15 JUIN 2019
Une bonne nouvelle, la Fft fait confiance à Protech-Sentinel.
La Fédération Française de Tennis Roland Garros | http://www.fft.fr/roland-garros
…s’équipe d’une couverture antifeu voiture pour assurer la sécurité de son public et de son parking.


Le concours de la Fabrique Aviva a été lancé pour une 4ème édition. Le principe : récompenser les entrepreneurs avec une aide financière d’un million d’euros…


Je représentais aussi Gaëtan Fontaine Réseautage Influ-Anse,Amaury Desbas et -PIERRE VAILLANCOURT ( une petite structure Québécoise chargée du site internet du PSO .
PSO18.fr estle projet d’un partenariat de 4 structures .
Influ-Anse ( Gaëtan Fontaine Réseautage )qui sera le porteur du projet pso18.fr au concours La Fabrique d Aviva qui sera parrainé par Sébastien Hedin Aviva agence de Saint Omer.

PLAN SAUVEGARDE DU PATRIMOINE ET DES BIENS CULTURELS
Pour le plan sauvegarde des œuvres, le plus intéressant et aussi le plus sécurisant.
Et de mettre une véritable politique de prévention aux risques, les plus courants inondations, incendies voir aussi les risques auxquels on pourrait rencontrer avec un facteur de risque élevé exemple tremblement de terre.
C’est déjà respecter la règlementation des ERP , et aussi entretien des moyens de lutte incendie ,maintenance du matériel exemple les climatiseurs , armoires électriques, les surcharges électriques ,entretien du bâtiment, respecter les consignes etc.
Déjà de mettre tous les moyens de détection départ de feu et dispositif pour combattre celui-ci au départ et de ralentir sa progression.
De limiter les risques d’éclosion et de propagation d’incendie
Pour les innondations c est de mettre des captueurs au sol, voir des pompes de relevages en cas innondation
DEJA UNE BONNE PREVENTION LES RISQUES SONT TRES REDUITS
Le risque zéro n’existe pas, une défiance technique et même humaine.
LE DERNIER REMPART
C’est là qu’intervient le plan sauvegarde des biens culturels, une préparation et une mise en œuvre de protection des biens, soit par l’évacuation de celle-ci ou par une protection sur les lieux, si celle-ci ne peut pas être évacuée.
Ce Plan doit être simplifié pour les sapeurs-pompiers, qu’ils trouvent les réponses de suite, savoir par exemple la salle impactée et les œuvres à évacuer et aussi le lieu de stockage par rapport au sinistre déjà aussi en premier lieu les coupes énergies , eau, fluide ,stockage etc. .
Tous les musées n’ont pas de plan Etare
Le PSO plan ressemble au plan Etare, mais vraiment destiné pour les musées.
Le PSO est un travail équipe et aussi interservices, mairie, SDIS, etc.
Il sera un outil simple, a utiliser par les services de secours.
Les informations seront très facilement accessibles et directs .
Les sapeurs pompiers n auront pas besoin d attendre après le personnel de direction pour agir , ils auront accès à aide d une application sur leur téléphone sécurisé ,seul le COS pourra avoir accès , il sera aussi un outil d’aide a la décision
Exemple pour trouver une oeuvre a évacuer , sa localisation ,la façon de manipuler et son lieu de repli sera indiqué .
Mais pso18.fr/ sera complet et détaillé , sur le plan d urgence
Il suivra la note du 10 Juin 2016 de la direction générale des patrimoines
Ce document a été élaboré en 2015-2016 par la mission sécurité-sûreté-accessibilité de l’inspection des patrimoines en lien avec les services de la direction générale des patrimoines (service interministériel des archives de France, service des musées de France, service du patrimoine). Il se veut respectueux des caractères particuliers des biens et des locaux concernés par les différents services.
Constituant une priorité du ministère rappelée dans la DNO 2016-2017, il remplace la circulaire du MCC/DAPA en date du 02/05/2000.
