Protection des oeuvres d’art dans le cadre du plan de sauvegarde des biens culturels • Protection de tableau • Protection de statue • Protection de vitrine
La préservation du patrimoine culturel est essentielle. Aussi la réalisation d’un plan de prévention des risques et de sauvegarde des biens constitue une priorité. Au travers la fabrication de housses et de bâches anti feu et chaleur ,
Au cours de ces dernières années, les risques d’inondations ont menacés plusieurs musées et de nombreux incendies ont touché des monuments tel que Notre-Dame de Paris (2019), la cathédrale de Nantes (2020) et plusieurs églises à travers la France.
Comment prévenir ces risques ? Que prioriser ? Comment agir et par quelles techniques ? LC2R et Prev Sécurité 62 vous propose une série d’articles sur le thème de la protection des oeuvres et du patrimoine.
Des précédents et une prise de conscience…
Les œuvres sont le témoignage du passage de l’homme sur Terre. Elles revêtent plusieurs formes : sculptures, gravures, fresques, témoignage d’écriture, peintures ou même objets d’art.
Impossible à dénombrer de par leur multitude, elles sont pourtant le fruit de notre existence et se doivent d’être protégées. Nous pouvons les retrouver partout, aussi bien dans le domaine privé que public, notamment dans les lieux de recensement, plus communément, les musées.
Le plus vieux musée est celui du Capitole de Rome, en Italie. Cependant, le premier musée ouvert au public date de 1671 en Suisse, le Kunstmuseum (musée d’art en allemand) situé à la frontière franco-germano suisse. Dès lors, une émergence se crée dans toute l’Europe, en grande partie durant le XVIIIème siècle. Aujourd’hui, nous dénombrons près de cent mille musées dans le monde dont plus de mille deux cents en France.
Tous ces bâtiments sont classés en ERP de type « Y ». Pour l’exploitant, le principal risque dans ces édifices, reste celui lié au public en cas d’événement majeur. Cependant, un second risque demeure, celui de la perte de leurs trésors, souvent uniques, authentiques, rares et parfois seule trace d’une période de l’Histoire.
C’est exactement ce qu’a subi le musée national du Brésil le 02 septembre 2018. L’incendie qui a ravagé le Palais de Saint-Christophe, qui accueillait le musée, a eu des conséquences désastreuses. Fort heureusement, aucune victime n’a été déplorée. Pour autant, des collections complètes ont disparu, notamment des registres et des références ethnologiques et archéologiques de tous les groupes ethniques du Brésil depuis le XVIème siècle. C’est l’histoire de tout un peuple qui a été réduite en cendres. Cet événement tragique sera le déclencheur d’un nouveau procédé qui va se répandre dans la quasi-totalité des musées du monde.
Pourtant, ce n’est pas le premier incendie qui est à déplorer dans un musée ou un édifice renfermant des œuvres d’art. Citons par exemple :
2006, feu dans le dôme de la cathédrale de la Trinité à Saint-Pétersbourg en Russie,
2008, deux incendies ravagent respectivement le manège militaire de Québec et le château de Moncalieri de Turin en Italie. Ce dernier déplorera ses œuvres s’élevant à 10 millions d’euros,
La majorité d’entre eux ont été provoqués par une origine liée à un chantier de travaux. Triste ironie donc, que la cause soit liée à l’embellissement, la mise en conformité ou la restauration de ces bâtiments.
A la suite de l’incendie du musée national du Brésil et la perte de nombreuses collections d’œuvres d’art, l’UNESCO a mis un point d’honneur à développer une pratique d’anticipation et de préparation à la sauvegarde des trésors de l’humanité.
Cette prise de conscience collective a permis au sein du monde culturel l’émergence de processus visant à améliorer la protection et la sauvegarde des œuvres.
Prévenir et agir…
La protection et la sauvegarde des œuvres est une discipline récente, en plein essor. Elle recherche la performance et l’amélioration continue dans le futur.
La mise en place d’un PSO (Plan de Sauvegarde des Œuvres) est une étude longue et fastidieuse qui s’opère en collaboration avec le chef d’établissement, le conservateur principal, le service de sécurité incendie (le cas échéant) et les sapeurs-pompiers. Plusieurs étapes permettent ainsi de recenser, de catégoriser, de protéger ou d’évacuer.
Recenser
En premier lieu, cette phase consiste pour le chef d’établissement, aidé de son conservateur, de recenser l’ensemble des œuvres d’art présentes sur le site. Cela comprend tableaux, sculptures, objets d’arts, etc. Les fresques qui peuvent être aux plafonds seront également prises en compte, mais aussi les bas-reliefs sur les façades, sans omettre la bâtisse ou partie du bâtiment s’ils sont classés (patrimoine historique ou de l’UNESCO). Le recensement des réserves revêt une importance toute aussi capitale car souvent nombreuses, elles peuvent s’avérer plus importantes que l’ensemble des œuvres exposées.
Catégoriser
Ensuite, il s’agit de déterminer un ordre de priorité. Cette phase semble être la plus délicate. Au même titre qu’un médecin sur une situation avec de nombreuses victimes qui catégorise les urgences absolues et les urgences relatives, le conservateur doit choisir quelles œuvres seront sauvées en priorité ! Les critères prépondérants seront leur rareté, leur artiste, la qualité artistique ou encore le sujet qu’elles évoquent. Bien souvent l’œuvre parle d’elle-même.
Cette priorisation peut s’avérer être un vrai dilemme. En fonction de chacune d’entre-elles, il sera fait le choix de son évacuation ou de sa protection. Certaines œuvres, de par leur taille, leur poids ou leur fragilité sont tout simplement « indéplaçables » dans le cadre d’une opération urgente.
Protéger et/ou évacuer
Lorsque ces deux étapes sont terminées, des plans sont réalisés afin de reporter l’emplacement exact des œuvres à évacuer et/ou à protéger. Ces derniers seront mis à disposition des services de secours en cas d’intervention.
Vient ensuite l’élaboration d’un dossier synthétique, également destiné aux services de secours, comprenant une fiche par œuvre avec, a minima, un descriptifsommaire, une photo et sa localisation.
Dans le cadre des évacuations, il faudra déterminer un premier acheminement vers un lieu de stockage d’urgence dans les dépendances immédiates de l’établissement et en prévoir la surveillance par les agents du musée ou les forces de l’ordre. Il s’agira alors d’une « petite noria ».
Si les conditions le nécessitent, une « grande noria » sera mise en place (ce fut le cas pour l’incendie de NDDP). Il faudra alors aménager un système de pointage et de recensement des œuvres à leur sortie du site, à leur embarquement dans les véhicules de transport et à leur réception dans un second lieu de stockage (départ – transit – arrivée).
Ce nouveau lieu de repli, sécurisé, où seront entreposées les œuvres évacuées devra répondre à des critères impératifs de conservation et se situer dans une zone non soumise aux risques naturels comme les inondations.
Une fois seulement toutes ces étapes préparées, il s’agira alors de quantifier l’ensemble du matériel adapté et nécessaire à la protection, l’évacuation (petite noria) et au déplacement (grande noria).
Poursuite de la mission d’appui du CNDRS en coopération avec le Laboratoire de Conservation Restauration et Recherches de Draguignan. Plan de Sauvegarde des biens culturels et conservation des archives
PATRIMOINE – L’hôtel Lambert à Paris, l’hôtel de Ville de La Rochelle, le Parlement de Bretagne à Rennes… Avant la cathédrale Notre-Dame de Paris, dévastée lundi 15 avril par un gigantesque incendie, plusieurs bâtiments historiques ont été endommagés par les flammes au cours des 25 dernières années en France.Par Mickael Naulin AFP agence
Prev Securite 62 et Protech Sentinel vous propose un accompagnement technique dans l’étude et la mise au point de confections (de housses, couvertures et pochettes anti feu ,anti acide et surtout aussi impermeable à l eau ), en adaptant nos solutions à chaque spécificité. Nous réalisons la confection de vos housses de protection anti feu pour oeuvres (tableaux, vitrines, armoires …
Prev Securite 62 et Protech Sentinel vous propose un accompagnement technique dans l’étude et la mise au point de confections (de housses, couvertures et pochettes anti feu ,anti acide et surtout aussi impermeable à l eau ), en adaptant nos solutions à chaque spécificité. Nous réalisons la confection de vos housses de protection anti feu pour oeuvres (tableaux, vitrines, armoires …)
La préservation du patrimoine culturel est essentielle. Aussi la réalisation d’un plan de prévention des risques et de sauvegarde des biens constitue une priorité. Au travers la fabrication de housses et de bâches anti feu et chaleur ,
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C’est la première fois qu’une telle opération d’envergure est menée à Saint-Omer. Un scénario a été bien préparé pour tester les dispositifs de secours en cas d’incendie à la cathédrale Notre-Dame. Un test en situation réelle, qui a commencé vers 10 heures et s’est conclu vers midi.
Fausse alerte, seulement un brouillard artificiel provoqué pour une intervention des Sapeurs Pompiers 👩🏻🚒🚒 et un exercice d’évacuation en conditions réelles, afin de sensibiliser le personnel et les éventuels visiteurs à une réalité qui pourrait se produire.
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Qui sont PSO 18?
PSO18.fr est le projet d’un partenariat de 4 structures Gaëtan Fontaine Réseautage Influ-Anse,Amaury Desbas et -PIERRE VAILLANCOURT ( une petite structure Québécoise chargée du site internet du PSO ET Prev Sécurité 62 Bruno Saudemont
NOTRE PROJET
Un outil technique, opérationnel permettant la prise de décision adapté pour les responsables de la sécurité des bibliothèques et musées, afin d’opter pour la meilleure prise de décision.
Ce produit est destiné au départ pour les bibliothèques, musées pour établissement d’un plan d’urgence en cas de catastrophe ou de sinistre, il sera par la suite adapté aux entreprises et autres administrations.
Cet outil répond aux différentes préocupations préparatoires, facilite l’encadrement des décisions opérationnelles dans un ensemble de problématiques techniques permettant du coup, pour une personne donnée, d’opter pour la meilleure prise de décision.
Elle est utile de bénéficier d’outils « simples » permettant de vérifier et d’analyser rapidement les informations afin de pouvoir prendre la décision à priori la plus adaptée à un instant donné et ce, sans nécessairement avoir des connaissances poussées.
Les outils développés seront une application en ligne ainsi que des accès ‘intranet’ ce qui permettra l’accès rapidement aux informations sensibles afin de favoriser la prise de décision. Les produits proposés dans le cadre de la validation des mises en œuvre pour la protection des œuvres seront adaptés aux réalités de chaque musée ou environnement où sont exposés les œuvres.
Cette outil, répertorira toute les informations en 3D des pièces, les organes de sécurité, les organes techniques des bâtiments, et surtout les œuvres qui seront à évacuer.
Cet outil va reprendre les plans « Etares », « POI », plans d’urgences et comme pour les musées le plan de sauvegarde des œuvres.
Cette outil sera mis à disposition aux services de secours ; mais aussi aux personnels de l’établissement avec un code d’accès par rapport a leurs compétences et droits d’accès .
Outil sera interactif et adaptable ou complémentaire aux outils embarqués
AU CŒUR DES ENTREPRISES. À la tête de Prev’Sécurité 62, Bruno Saudemont, par ailleurs pompier volontaire à Saint-Omer, a mis au point une couverture anti-feu pour laquelle il s’est associé avec Apronor.
Marion Clauzel | 22/04/2019 Voix du Nord
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Des extincteurs à la couverture anti-feu
Au départ, Bruno Saudemont, pompier volontaire, est spécialisé dans les extincteurs. Il les installe et les entretient via sa société prestataire de services dans le domaine de la sécurité incendie, Prév’Sécurité 62, une entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL). Il a aussi mis au point une couverture anti-feu, désormais commercialisée. C’est la société Apronor près de Rouen qui la fabrique. Pour ce projet, Bruno Saudemont s’est associé avec Apronor. La marque Protech Sentinel a été déposée. La couverture anti-feu peut servir à protéger des flammes des œuvres non transportables, quand elle vient recouvrir une statue ou un tableau. Elle peut aussi permettre d’étouffer rapidement un incendie de voiture ou un feu de poubelle, sans avoir recours à l’arrosage. « Cette couverture à base de fibre de roche est imperméable à l’eau, lavable et recyclable », précise Bruno Saudemont.
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Des plans de sauvegarde des œuvres
Depuis 2018, la couverture anti-feu mise au point par l’Audomarois Bruno Saudemont. Il essaie aussi de convaincre les musées et les bibliothèques de sauvegarder leurs œuvres, en adoptant des plans de sauvegarde des œuvres (PSO). Ce type de plan permet aux secours d’évacuer et de sauvegarder les œuvres présentes dans un établissement ou un monument selon un périmètre établi, en cas d’incendie. La cathédrale Notre-Dame de Paris, victime des flammes, lundi soir, bénéficiait d’un PSO. C’est aussi le cas du musée Sandelin à Saint-Omer qui a été l’un des premiers clients de Bruno Saudemont.
Bruno Saudemont et Gaëtan Fontaine, une pochette anti-feu à la main.
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Pour quels clients ?
Outre le musée Sandelin et son PSO, les clients de Bruno Saudemont sont très variés. Il a équipé en couvertures anti-feu le Château de Grignan ou encore un musée à Châlons-en-Champagne. Parmi ses clients, figurent aussi des privés qui veulent protéger des tableaux chez eux. Prev’Sécurité est contactée par Internet pour des demandes de devis. Reste que pour les couvertures, comme pour les PSO, c’est souvent le budget qui coince.
A LA TETE DE PREV SÉCURITÉ 62 ,BRUNO SAUDEMONT ,PAR AILLEURS POMPIER VOLONTAIRE A SAINT OMER A MIS AU POINT UNE COUVERTURE ANTI FEU POUR LAQUELLE IL S EST ASSOCIE AVEC BAPTISTE BIOCHE DE LA SOCIÉTÉ APRONOR.
Le 3 septembre dernier, l’incendie du musée de Rio au Brésil a ému le monde.
Mon cher Watson a choisi d’enquêter sur la protection des œuvres d’art et artefacts conservées dans les musées. Feu, inondation, insecte, Watson va faire le tour des risques qui guettent notre patrimoine.
Pour ce premier chapitre, nous avons rencontré Bruno Saudemont, pompier volontaire et créateur de l’entre Prev Sécurité 62 qui met en place des stratégies de prévention contre les risques d’incendie dans les établissements recevant du public.
– Bonjour Bruno, pouvez-vous nous présenter votre parcours professionnel ?
Je suis sorti de l’école à 18 ans avec un CAP mécanicien auto. Je suis entré dans le monde du travail, en parallèle de mon activité de sapeur-pompier volontaire – activité que j’exerce toujours. Suite à un licenciement en 2010, j’ai suivi une formation « création d’entreprise » en 2011/2012 et j’ai créé mon entreprise 2013
J’ai créé mon entreprise en autoentrepreneur le 5 mai 2013. Suite à un bon développement de l’entreprise, en juillet 2016, Prev Sécurité 62 est passé au statut EIRL.
Mon champs d’opération principal est assez large. Il va de la vente, l’installation et la maintenance des extincteurs, la formation incendie, l’élaboration de plans d’évacuation et d’intervention, la mise en place des POI (plan d’opération interne), de plans de sauvegarde des œuvres d’art, l’installation d’alarmes type 4 permettant de lutter contre les incendies, l’installation de BAES (bloc autonome d’éclairage de sécurité) à la mise en conformité des établissements recevant du public.
Ma deuxième activité est en développement. Je travaille à la mise en place de couvertures, housses, pochettes anti-feu pour les musées principalement. Ces protections peuvent servir également pour d’autres activités comme les bibliothèques par exemple. La résistance de nos produits est 900°C pendant 30 minutes. Elles sont également anti-acide et imperméables a l’eau.
– En quoi la sécurité incendie est-elle un enjeu pour les musées et leurs réserves ?
La raison principale est tout simplement le risque de la perte de l’œuvre. Sans aller jusque là, il y a aussi la détérioration de l’œuvre. Les conséquences sont des frais considérables pour permettre la restauration de l’œuvre (même s’il ne sera plus vraiment « l’original ») ; c’est surtout la perte de notre histoire et de notre patrimoine historique ou culturel.
Un musée est aussi un symbole et lieu important dans le cœur d’une ville. Un incendie, c’est une perte pour le musée, c’est un risque de perte d’argent s’il doit fermer, voir aussi un risque de chômage technique pour le personnel.
La sécurité incendie, c’est surtout faire une prévision des risques. C’est prévoir les moyens de lutte en cas de déclaration d’un incendie,, et les moyens à mettre en œuvre pour empêcher la propagation des flammes et maîtriser le sinistre.
– Comment se déroule une mission type ?
L’audit se passe en plusieurs temps :
1er temps : étude des risques autour du musée, risques industriels, routiers, naturels…
2ème temps : étude au niveau du bâtiment (entretien, protection incendie…)
3ème temps : étude de son fonctionnement, des conditions de travail de son personnel et différents services… Nous pouvons également former le personnel du musée à la mise en place du plan de sécurité, des exercices de sauvegarde qui doivent être mis en place avec les sapeurs-pompiers et les membres du musée.
4ème temps : inventaire des œuvres, et mise en place des fiches de procédures, mise en place des outils d’aide à la décision comme la priorité de sauvetage des œuvres. Cette décision est prise en étroite collaboration avec les conservateurs
– Les projets de sauvegarde incendie peuvent-ils être utilisés dans d’autres cas ?
Oui, les couvertures peuvent être utilisées contre les eaux d »extinctions ou les inondations. Elles résistent aux PH acides et base
Merci à Bruno Saudemont pour ses réponses à nos questions.